Bien choisir sa gourde isotherme
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Boire avant d’avoir soif, boire régulièrement, boire à petites gorgées… Une bonne hydratation demande d’être attentif à sa façon de boire. Une mauvaise hydratation a des répercussions sur votre corps, qui peuvent aller de simples maux de tête à un mal aigue des montagnes (en altitude), en passant par des courbatures.
La bonne vieille gourde métallique, quasi indestructible, pouvant contenir de nombreux liquides, du thé, du sirop, une boisson énergisante, de la soupe et bien sûr de l’eau, est la grande classique. Tout randonneur en a transporté une dans son sac à dos un jour ou l’autre. Elle peut en plus être doublée d’une housse isotherme pour garder son contenu au froid ou au chaud. Un de ses avantages est qu’elle se nettoie très facilement, elle ne demande pratiquement aucun entretien.
Sa cousine la gourde en plastique, plus moderne, est souvent plus économique. Disposant parfois d’un bouchon à tétine, on peut ainsi choisir entre boire à petit débit ou à gros goulot, en dévissant le bouchon. Elle peut également être doublée d’une housse isotherme, mais par contre, elle retient plus les odeurs que la métallique qui est la grande gagnante dans ce domaine.
Le remplissage est des plus aisés sur les gourdes rigides. Il suffit de dévisser le bouchon pour bénéficier d’une large ouverture qui permet de la remplir rapidement, que ce soit dans une rivière, à un robinet… Elles sont disponibles dans des volumes allant généralement de 0,5 à 1,5 litre, chacun trouvera son bonheur. Certaines indiquent la contenance en ml. C’est pratique pour préparer les plats lyophilisés le soir au bivouac.
L’inconvénient de ces gourdes, c’est que quel que soit le volume d’eau transporté, le volume de la bouteille est toujours le même. Une gourde vide, ou à moitié vide, prend autant de place dans le sac qu’une gourde pleine.